Peut mieux faire !

Où comment vous m'avez renvoyé à ma copie ...

Il y a quelques jours, je vous ai soumis le nom du programme de groupe pour entrepreneuses de 50 ans sur lequel je travaille d’arrache pieds en ce moment :
Osez ! les réseaux sociaux.
Ne tournons pas autour du pot, vous m’avez recadrée bien comme il faut. Trop générique, pas assez percutant, déjà vu, peut mieux faire. Bref, vous m’avez renvoyé à ma copie et vous aviez raison.

C’est ça, la vraie force d’un réseau.

Bosser seule : la mauvaise idée

Que l’on soit salariée, indépendante, en reconversion ou en plein lancement de boîte, on ne construit rien seule. Mon réseau, je l’ai construit au fil du temps, et il m’aide chaque jour.

Quand j’ai un coup de mou, vous êtes là.
Quand je doute, vous croyez en moi.
Quand j’ai besoin d’un avis, vous répondez présentes.

Et cette force, je la trouve autant dans les rencontres physiques que virtuelles. Vous êtes d’horizons et d’âges variés, notamment sur Instagram où mon compte existe depuis longtemps : des entrepreneuses, des artisanes, des communicantes, des productrices, des femmes en reconversion, des retraitées, des jeunes mamans… et cette diversité est une richesse incroyable.

Le mercredi 19 février à 18h, je serai en live sur le compte Instagram de
Magali alias @NiceSouris
Nous parlerons communication pour les entrepreneuses quinquas et + si affinités !
Je compte sur vous !

Les hommes l’ont compris, allons-y franchement !

J’ai lu récemment une autre différence entre hommes et femmes dans la sphère professionnelle : les hommes travaillent en réseau et savent très bien se coopter. Ils se recommandent, se filent des tuyaux, se font bosser entre eux, signent des contrats entre bites.
Là où nous créons des espaces de soutien et des espaces d’apprentissage, eux créent du busines. Et le fric, ça reste le nerf de la guerre, pour les hommes ET pour nous aussi.

Sans argent, nous pouvons dire adieu à nos envies de liberté, à nos besoins d’indépendance et à nos entreprises.

Quand l’une de nous monte, c’est nous toutes qui montons.
Quand une femme brise un plafond de verre, elle ouvre la porte à toutes les autres.

J’aime beaucoup Caroline Mignaux pour ça, elle ne cesse de prôner l’entraide-preneuriat entre indépendant.es.

La sororité ne suffit pas.

Dans mon prochain accompagnement, le groupe sera essentiel.

Je veux créer un véritable espace d’entraide, où les participantes s’écouteront, s’apporteront, tisseront des liens. Je suis profondément convaincue, c’est dans l’échange et la connexion qu’on avance.

Moi, je vais tout donner pour construire avec vous une communication qui vous ressemble et que vous puissiez atteindre vos objectifs. Mais je veux aussi que les femmes du programme trouvent de la force dans le collectif.
Je dédierai un groupe WhatsApp pour tous nos échanges.

Bref, on ne va pas juste avancer côte à côte, on va avancer ensemble.

Dès que j’aurais trouvé le nom idéal de ce fichu programme 🙂

Mon cadeau pour vous 🎁

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En attendant, prenez soin de vous.